C’est un livre que j’affectionne particulièrement, car peu importe votre âge, par le biais de ces histoires, ces sujets (amour, vieillesse, séparation etc...) Vous vous reconnaîtrez. Et c’est ça qui est fort avec cet ouvrage. Comme je l’ai déjà dit c’est comme un médicament sans effet secondaire. Il faut le conseiller à toutes les personnes que vous connaissez qui ont passé, ou qui passent un (des) mauvais moment (s).
Sommaire :
Thème 7 : Aider c’est bien, mais aider sans attendre de compensation c’est mieux Thème 8 : L'importance de la relation de cause à effet dans notre vie.
Thème 1 : Avez-vous une mission de vie ?
Ce que j’aimerais te dire : Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si…
Je ne voulais pas me répéter en écrivant ces lignes, mais je vais quand même le faire. Peu importe la situation que vous avez vécue ou que vous vivez en ce moment LISEZ CE LIVRE !
« Toi aussi, tu as une mission fondamentale à accomplir. Cette mission doit donner sens à tout ce que tu fais dans ta vie. Les personnes qui connaissent leur mission ont confiance en eux. »
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE : Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 12). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
(J’ai volontairement écourté l’extrait que j’avais souligné dans cette partie et je pense que je le ferai dans tous les thèmes que je vais aborder avec ce livre. Car, cet ouvrage est écrit de manière à vous raconter plusieurs histoires. Ensuite, après ces récits qui ont un thème spécifique, l’auteur fait émerger l’idée essentielle à retenir avec le sujet abordé. Donc, afin de ne pas spolier chaque fin, je préfère contrairement aux autres bouquins prendre une toute petite partie et je vous invite à vous procurer le livre afin de lire les petits bijoux de réflexions).
Bon reprenons, un des sujets qui je pense est le plus abordé au monde, c’est cette célèbre mission de vie…
Quand ?
Où ?
Comment ?
La trouver.
Selon l’auteur, les personnes qui connaissent leur mission de vie en confiance en eux, ils ont une structure qui qui dirige leurs objectifs et peu importe ce qui se passe, ils ne s’en détournent jamais.
Bon, je ne vais pas vous mentir, après plusieurs livres lus et plusieurs pages sur ce blog, je ne connais toujours pas ma mission de vie.
Vous savez, je me demande si on a tous une mission de vie ? Hé oui… Est-ce qu’il y a des personnes qui naissent et meurent et qui n’ont jamais eu de mission ? Et comme l’expression, peuvent dire :
"Bon j’étais, là ! Mais je suis plus là !"
Plusieurs questions :
-Sommes-nous censés avoir obligatoirement une mission de vie ?
-Il y a-t-il une quelconque punition divine ou autre chose qui nous attend après notre mort, si nous avons passé notre vie à faire « maison, boulot, dodo ? »
Même si, plus haut, je fais un peu d’humour, j’espère que j’aurai la réponse avant ma mort. Car, je suis allé faire un petit tour sur le net et comme d’habitude, lorsque j’ai tapé : « Qu’est-ce qu’une mission de vie ? » Il y a eu une pluie d’informations sur ce sujet, en voici quelques exemples :
Selon le site www.jennablossoms.com
« Votre « mission de vie », c’est la raison pour laquelle vous êtes sur Terre. C’est la mission que vous avez décidée de réaliser avant de venir vous incarner. C’est la tâche que vous avez à accomplir et qui vous a fait quitter le monde d’amour inconditionnel de l’esprit pour descendre dans la matière. »
Bon, je vais vous laisser faire votre avis, car je ne suis pas très « calé » dans tout ce qui concerne incarnation, esprit ou matière.
« Votre mission de vie est la raison pour laquelle vous êtes sur Terre.
Selon certaines croyances, notre âme choisirait de venir s’incarner dans notre vie actuelle pour réaliser une mission de vie. C’est-à-dire que nous nous serions nous mêmes attribué un but à atteindre, en fonction de ce que nous aurions vécu dans nos vies antérieures. »
Bon, là, je suis un peu plus à l’aise que le site précédent et donc, selon ce site c’est la raison pour laquelle nous sommes sur terre. C’est simple et clair. Ensuite, nous rentrons dans un domaine que je ne connais pas : âme, incarner, vies antérieures. Je vous laisse le soin, si ça vous intéresse de cliquer sur le lien pour lire la suite.
Selon le site dharmasana.com
« La mission personnelle revêt divers déguisements : un idéal à poursuivre, une passion, un but important à atteindre, un désir profond et persistant, une inclination durable de l'âme, un enthousiasme débordant pour un genre d'activité"... Ainsi le psychologue et prêtre canadien Jean Monbourquette (1933-2011) décrivait-il cette mystérieuse "mission de vie".
Repérer cette mission personnelle, trouver son ikigaï permettrait non seulement de s'épanouir, d'être heureux de se lever le matin, mais aussi de se mettre au service de la société et de trouver un sens à sa vie. »
Pour ce dernier extrait, surtout le dernier paragraphe, je pense que l’on se rapproche du but, c’est-à-dire ce qui ressemble le plus de la définition d’une mission de vie, selon moi.
Mais, maintenant vu que nous avons répondu en partie à : Qu’est-ce qu’une mission de vie ? Je vais donc chercher à l’aide du net :
Comment trouver sa mission de vie ?
Sur le site Reussirmavie.net
Ils prennent un des exemples proposés par Jean Monbourquette
« …identifiez trois expériences dans lesquelles vous vous êtes senti pleinement épanoui, enthousiaste ou heureux :
- Décrivez-les comme si vous étiez en train de les vivre au présent ;
- Entourez les mots importants, en particulier les verbes ;
- Relevez les points communs aux trois expériences : circonstances, actions, sentiments...
Qu'est-ce qui revient le plus ? Vous commencez à voir émerger votre mission. »
Je trouve que c’est un très bon exemple pour trouver sa mission. Même si pour moi, il faudrait que je prenne le temps de bien réfléchir, car rien que le fait de trouver seulement trois expériences où je me suis senti pleinement épanoui, ça va être compliqué… Car, il va falloir faire des choix et me connaissant, je risque de réfléchir comme ça : « Ah c’était bien le moment que j’ai passé… Ah oui ! Mais j’ai vécu ça aussi et c’était génial ! Mais il y avait ça aussi… » Et ça ne risque pas de s’arrêter…
Je me suis aperçu que j’ai atteint la troisième page Word. Bien que je trouve le sujet très intéressant, mais je sais que certains de mes articles sont longs et qu’il y a que les lecteurs « chevronnés » qui les lisent jusqu’à la fin. Comme je vous l’ai dit écrire ce n’est pas un souci, surtout avec ce thème, je pense que je peux rajouter quelques pages encore…
En tout cas, comme d’habitude, j’ai trouvé ce sujet et mes petites recherches très intéressantes. Allez faire un tour sur les liens des sites où vous aurez de plus amples informations sur la mission de vie.
Je vous dis à bientôt !
Une dernière précision, il n’y a pas de partenariat entre ces sites et moi.
Si ce livre vous intéresse voici un lien (ici) où vous pourrez l’acheter .
Thème 2 : La perte d’une personne chère à notre cœur.
Quel thème… Lorsque j’ai relu les passages du livre, j’ai tout de suite pensé à plusieurs personnes qui ne sont plus présentes aujourd’hui.
Imaginez, que vous vous étiez attaché à une personne, vous vous voyez, rigolez, partagez vos moments de vie et pas une semaine se passe sans que vous ne vous contactiez ou rencontriez. Et maintenant imaginez que cette personne disparaisse subitement et que vous ne la reverrez plus jamais…
Imaginez, que vous vous étiez attaché à une deuxième personne, vous vous voyez, rigolez, partagez vos moments de vie et pas une semaine se passe sans que vous ne vous contactiez ou rencontrer. Et maintenant imaginez que cette personne disparaisse subitement et que vous ne la reverrez plus jamais…
Imaginez, que vous vous étiez attaché à une troisième personne, vous vous voyez, rigolez, partagez vos moments de vie et pas une semaine se passe sans que vous ne vous contactiez ou rencontrer. Et maintenant imaginez que cette personne disparaisse subitement et que vous ne la reverrez plus jamais…
Comme vous l’avez compris, c’est volontairement que je me suis permis de reprendre quasiment les mêmes phrases.
Mais c’est ce que j’ai ressenti, lorsque ces trois personnes sont parties…
Comme j’aime dire, la vie réserve des surprises, bonnes ou mauvaises, il faut tout simplement faire avec et comprendre que c’est comme ça et pas autrement.
Vous aurez beau, réfléchir, pleureur, vous énervez, la perte d’un être cher est une réalité.
Alors, comment ce livre nous permet d’accepter la disparation d’un être aimé et comment moi j’ai fait pour surmonter cela ?
Personnellement, ça a été dur, lors de la première disparition, ensuite la deuxième, mais pour la troisième… Autant être franc, je me suis demandé, si je n’avais pas le droit d’avoir un ami proche… Au fil du temps, j’ai fini par accepter ces douleurs qui parfois, même quelques années après, revenaient me hanter. De toutes les manières, je n’ai pas le choix et surtout cela m’a permis de grandir et de mieux « comprendre » la vie. C’est pour cela que j’aime beaucoup l’expression : « Ainsi va la vie. »
Pour l’auteur du livre, il pense que cette personne s’est réincarnée en une fleur que vous allez sans doute rencontrer sur votre chemin, ou en un oiseau qui viendrait chanter à votre fenêtre. En gros, pour lui, ces personnes disparues sont présentes dans le vivant sous une autre forme.
Ensuite, il explique qu’il y a trois choses qui peuvent empêcher quelqu’un de faire le deuil d’une personne disparue :
-les regrets (exemple, avez-vous été assez présent auprès de cette personne ?)
-La culpabilité (avons-nous fait assez de choses pour ce cher, auriez-vous pu éviter cela ?) Je vais prendre mon exemple personnel. Juste avant de mourir, l’une de ces trois personnes est passée chez moi. Pendant un certain temps, je me suis reproché de ne pas avoir été là, car si je n’étais pas parti, j’aurais pu la sauver et ce disparu aurait été présent à mes côtés.
- L’injustice.
Je vais reprendre l’exemple de l’une de ces trois personnes, dont j’ai parlé tout au début de cette article. Lorsque nous étions jeunes, nous nous étions fait une promesse : c’était de ne plus être dans la situation que nous vivions sur le moment. Ensuite, tout en grandissant, nous nous encouragions mutuellement afin d’améliorer notre vie et nous nous félicitions de nos réussites. Lorsque nous avons eu un certain âge et que notre situation personnelle fut grandement améliorée, nous étions fiers de voir notre parcours de vie. Que ce soit lui ou moi, nous avions réussi certains de nos objectifs et notre vie s’était vachement améliorée. Mais malheureusement, c’est là que la vie est passée par là et quelque temps après, ce cher camarade n’était plus parmi nous…
Alors, comment l’auteur nous propose de contrer ces trois éléments ? Il nous demande de nous concentrer sur les vivants (et je suis totalement d’accord avec lui, parfois nous avons tendance à nous concentrer sur les morts alors qu’ils ne sont plus là). Il nous parle aussi d’une dernière chose que j’ai adorée. Mais pour cela, je vous laisse le soin de vous procurer le livre… Et laissez-moi un petit like et un commentaire pour voir si vous avez lu cette partie.
Waouh ! c’était émouvant d’écrire cet article, mais ça m’a fait du bien et comme je l’ai déjà dit dans de précédent thème, j’espère que mes articles seront utiles au plus grand nombre, jeune ou moins jeune. Au fait, c’est peut-être ça ma mission de vie ?
Merci beaucoup d’avoir lu, cet article et je vous dis à une prochaine !
Si vous souhaitez vous procurer ce livre voici un lien (ici) .
Thème 3 : Soyez grand, même devant vos erreurs !
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre. »
Marc-Aurèle
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (pp. 30-31). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
*Une petite précision cette citation n’appartient pas à Emeric LEBRETON ? Mais bien à Marc AUREL. C’est juste qu’elle se trouve dans ce livre.
Vous savez, j'ai récemment fait une « connerie » qui a pu être amusante pour certains, choquante pour d'autres qui n'ont peut-être jamais été confrontés à ce genre de chose (mais j'en doute...).
Personnellement, j'ai traversé plusieurs étapes. D'abord, j'ai été gêné, en me disant que je pouvais être un vrai Gaston Lagaffe quand je voulais. Ensuite, je me suis dit : « Ce qui est fait est fait, il n'y a aucune possibilité de changer ce qui s'est passé, c'est trop tard. » J'ai donc analysé ma réponse émotionnelle face à cet événement (oui, je m’analyse moi-même), l'objectif étant de mieux comprendre mes réactions et de m'améliorer. Je me suis rendu compte que je pouvais être fier de moi. Pourquoi ? Parce que j'ai compris que j'avais mûri et que dans ma vie, il y avait des choses beaucoup plus importantes que cela. Et je me suis dit : « Tant pis, c'est fait, je ne peux rien y changer, mais néanmoins, je peux changer ma perception des choses et progresser. »
Je pense que si j’avais été plus jeune, je l’aurai très mal pris. Rien que le fait de savoir qu’il y aurait des regards braqués sur moi, je me serai fait petit, très petit, et je m’en serais voulu pendant des semaines, jusqu’à cela se passe en moi. C’est là que comme par hasard je lisais le livre de monsieur Lebreton et il avait repris la citation de Marc Aurel :
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre. »
Donc, qu'est-ce qui s'est passé après ? Tout simplement, j'ai pris le temps d'accepter mes émotions, comme le conseille Suzan DAVID dans son livre "L'agilité émotionnelle". Trois jours plus tard, c'était terminé. J'ai repris ma vie comme d'habitude, sans me soucier de quoi que ce soit. De toutes les manières avec la Vie, ce qui doit arriver, va arriver. Même si vous prenez toutes les précautions possibles. L’adaptation est la clé ! (Je suis content d’avoir pu placer cette dernière phrase ce n’était pas prévu et je la trouve chic !)
J'ai remarqué que, parfois, les livres que je lis m'aident dans ma vie quotidienne. Par exemple, des événements surviennent et par hasard, je tombe sur un extrait qui correspond à ce que je vis sur le moment et l'un des livres que je lis en même temps me donne une solution. Cela m'est déjà arrivé plusieurs fois. C'est ce qui s'est passé durant l'événement dont je vous ai parlé, avec le livre "Ce que j'aimerais te dire" et la citation de Marc AUREL, ainsi que le livre de Suzan DAVID que j'ai cité.
"Juste pour finir, il y a deux choses que j'ai retenues et qui reviennent à chaque fois dans ma vie comme étant des erreurs à ne plus commettre : la fatigue et le fait de faire quelque chose le soir. Cette erreur s'est produite avec ces deux éléments.
En effet, ce n'est pas la première fois que cela m'arrive. Faire quelque chose, discuter ou prendre des décisions importantes lorsque je suis fatigué et que la nuit tombe est la pire chose que je puisse faire. Comme je le pense, la vie vous rappelle d'une manière ou d'une autre que ce que vous faites n'est pas bénéfique pour vous, et tant que vous ne l'avez pas compris, elle vous présentera une situation similaire sur un plateau d'argent.
Pour finir, je vais prendre un exemple concret : il est bientôt 22 heures et j'ai envie de corriger cet article et de faire l'image qui va l'accompagner pour le poster rapidement. Mais le problème, c'est que je suis FATIGUÉ ! "
Une dernière chose, je ne le savais pas, mais ce qui m’a aidé à mieux diriger ce problème ça a été d’écrire cet article dès le troisième jour. Je ne savais pas, mais je lisais dans le livre de Suzan DAVID sur l’agilité émotionnelle qu’il arrive que les psychologues demandaient à leurs patients d’écrire leur sentiment sur la situation qu’ils ont vécut. Et sa fonctionne très bien. C’est une manière je pense d’extérioriser un problème donc se soulager un peu. Donc (de mémoire) après soit les patients gardait le document ou pouvait le broyer et le jeter. J’aime bien le fait de jeter le document car symboliquement, nous montrons que nous en avons fini avec cet incident.
Une dernière chose : je ne le savais pas, mais ce qui m'a aidé à mieux gérer ce problème a été d'écrire cet article dès le troisième jour. Je lisais dans le livre de Suzan DAVID sur l'agilité émotionnelle que certains psychologues demandaient à leurs patients d'écrire leurs sentiments sur la situation qu'ils ont vécue, et cela fonctionne très bien. C'est une manière, je pense, d'extérioriser un problème et de se soulager un peu. Donc (si je me souviens bien), après, soit les patients gardaient le document, soit ils pouvaient le broyer et le jeter. J'aime bien le fait de jeter le document, car symboliquement, nous montrons que nous en avons fini avec cet incident.
Merci d'avoir lu cet article ! A plus !
Si ce livre vous intéresse, voici un lien où vous pourrez vous le procurer : (ici).
Voici le lien du livre : L’agilité émotionnelle de Suzan DAVID : ici.
Thème 4 : Vous avez des défauts, exploitez-les !
« LORS DE NOTRE DERNIÈRE RENCONTRE, TU M’AS BEAUCOUP PARLÉ DE TES DÉFAUTS… J’AI EU LE SENTIMENT QUE TU AVAIS PERDU CONFIANCE EN TOI… »
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 32). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
Dans la société dans laquelle nous vivons, dès notre enfance, nous nous focalisons très souvent sur nos défauts. Cela est normal, mais nous avons tendance à oublier que personne n'est parfait et que nos défauts sont là pour nous permettre de nous améliorer. Selon la culture et la perception du monde, nous pouvons constater que certains défauts peuvent également être vus comme des qualités chez d'autres personnes.
Par exemple, quelqu'un de radin peut être considéré comme quelqu'un qui souhaite ne pas dépenser son argent à tout prix, pourrait être un bon gestionnaire. Ainsi, il ou elle pourrait être un(e) des meilleur(es) employé(e)s au sein du service de comptabilité d'une entreprise.
Dernièrement, sur la chaine Youtube Motivaction je regardais une interview de Tim GROV qui parlait des défauts (désirs, égo, avidité...) Il disait que tout le monde a un côté sombre. Mais il y a des gens qui savent l'exploiter, le contrôler, et c'est ce qui les pousse vers l'avant. Pour lui, ceux qui savent en garder le contrôle, l'exploiter et l'utiliser s'élèvent à un niveau complètement différent des autres personnes.
Pour reprendre l'exemple de Tim GROV, je vais vous parler d'un de mes défauts : j'aime la plupart du temps être seul. Je n'aime pas quand il y a toujours beaucoup d'amis autour de moi. Pourtant, j'aime bien faire des activités avec eux de temps en temps, mais j'aime cette solitude, donc j'ai très peu de liens amicaux. En contrepartie, c'est cet isolement qui me permet d'écrire les lignes que vous lisez en ce moment.
Parlons maintenant de la gentillesse qui est, à la base, une qualité, mais qui peut rapidement devenir un défaut, surtout si vous êtes gentil avec tout le monde. Vous risquez, comme vous le savez, de vous en mordre les doigts tôt ou tard. C'est un peu comme pour les personnes très empathiques qui veulent toujours aider tout le monde, mais qui ont parfois du mal à s'occuper d'elles-mêmes. Elles peuvent se retrouver dans des situations alarmantes alors qu'elles voulaient faire preuve de gentillesse. Comme je l'ai écrit dans l'article précédent, la vie vous proposera des situations similaires où, malheureusement pour vous, vous aurez une nouvelle fois l'occasion de vous dire : « Merde ! J'ai encore été trop gentil ! »
Dans le livre, Emeric nous raconte l'histoire d'un porteur d'eau qui transportait deux jarres, l'une parfaite, l'autre percée. La jarre percée s'en voulait de laisser échapper de l'eau tout au long du trajet. Mais, elle n'avait pas remarqué quelque chose d'important. Les endroits où elle laissait couler l'eau, il y avait des fleurs qui étaient apparues. En effet, le porteur d'eau avait eu l'idée de semer des graines sur les parties où s’échappait de l'eau. Le résultat est que des fleurs avaient poussé. Il en avait même cueilli pour décorer la maison de son maître.
Donc, la morale de cette histoire est que le porteur d'eau avait semé des graines aux endroits où la jarre perdait de l'eau, car il savait qu'il pouvait tirer quelque chose de bénéfique de son défaut.
En conclusion, il est important de ne pas oublier que tout le monde a des défauts, et que nous devons essayer de nous améliorer pour mieux les gérer, non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour les autres. Il est possible que ces défauts ne disparaissent pas complètement, mais au moins vous aurez fait l'effort de les atténuer, et peut-être, comme le porteur d'eau, trouvé une manière positive de les utiliser.
Merci d'avoir lu cet article, et à bientôt pour un nouvel article !
N'oubliez pas de laisser un petit cœur (bien sûr, si vous avez aimé). Cela me permet de mieux évaluer mon travail.
Si vous souhaitez acheter le livre CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE, voici un lien (ici).
Thème 5 : Envie d’abandonner ?
"LORSQUE JE T’AI VU, TU ÉTAIS FATIGUÉ… TU FAISAIS FACE À DE NOMBREUX PROBLÈMES ET TU AVAIS LE SENTIMENT DE NE PAS Y ARRIVER… TU AVAIS ENVIE D’ABANDONNER…"
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 41). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
"Dans ce chapitre du livre, l'auteur parle de l'abandon en racontant l'histoire de deux grenouilles. Cependant, je ne vais pas vous la raconter, car vous devriez acheter le livre pour la découvrir. Ce récit met en évidence la difficulté de l'abandon et sa dureté.
Mon titre est provocateur, mais en grandissant, j'ai appris à m'affirmer et à prendre en main mes projets. J'ai remarqué que lâcher un projet crée chez moi une frustration, je ne sais pas pourquoi, mais je n'aime pas ça. Cela représente pour moi l'échec ultime ! Dans le passé, j'abandonnais mes projets assez rapidement. Mais, dans ma tête, ces revers restaient des déceptions que je n’arrivais pas à oublier.
Le problème, c'est que je continuais à penser à ces événements pendant des jours. C'est là que j'ai compris qu'au lieu d'abandonner une idée, il fallait mieux « rebondir » sur le problème, passer par-dessus, en dessous, où vous voulez, mais il doit y avoir un moyen de réussir. J'ai compris qu'il ne fallait pas tout arrêter, mais changer l'approche afin de résoudre ce problème, avec une ou plusieurs autres manières. La seule chose que je devais stopper était la première façon de m'y prendre avec cette situation, quitte à la laisser en pause quelques temps et revenir après."
"Pour vous donner un exemple, à une certaine période, je connaissais quelqu'un qui avait des projets mais qui rencontrait des difficultés constantes. Cependant, grâce à l'aide d'un psychologue, il a compris qu'il fallait faire les choses étape par étape et célébrer les petites victoires. Cela m'a fait réaliser l'importance de cette attitude. Maintenant, peu importe le projet, je me félicite pour chaque avancée, même minime, et je célèbre chaque réussite, seul ou avec des proches.
Revenons sur ce proche, il avait aussi compris que malgré nos malheurs, il y a toujours des aspects positifs dans la vie, mais nous avons tendance à ne pas les remarquer en raison de l'obscurité causée par nos problèmes.
En conclusion, il est important de persévérer et de ne pas abandonner ses objectifs car le travail finit toujours par payer !
Merci d'avoir pris le temps de lire cet article, à une prochaine fois !
Si ce livre vous intéresse voici un lien où vous pourrez vous le procurer : (ici).
Thème 6 : Faites de votre douleur une goutte d’eau dans un océan.
Selon l'auteur du livre, la douleur est utile dans notre vie car elle nous permet de détecter les dangers et d'éviter de se blesser ou d'endommager notre corps. Il explique que la douleur n'est pas mauvaise en soi, mais qu'elle nous apprend à prendre les bonnes décisions. Cependant, il précise que parfois, elle peut s'aggraver et nous donner l'impression qu'il n'y a pas de solution. Mais croyez-moi, il y en a toujours une, c’est juste que nous avons du mal la trouver.
Il raconte l'histoire d'un jeune garçon qui a essayé de résoudre un problème en se concentrant dessus, ce qui a empiré les choses. Il a finalement rencontré un médecin qui lui a conseillé de ne pas s'inquiéter et de laisser le temps faire. Pour apaiser une douleur physique, l'auteur vous propose de l'interpréter sous forme d'une image, puis de changer cette représentation dans votre esprit. Par exemple, si vous avez mal au dos et que cela vous semble comme si quelqu'un tapait dessus avec un marteau, vous pouvez imaginer que ce marteau est en mousse et que la douleur diminue ou s'éloigne.
Emeric LEBRETON nous parle également de la douleur psychique et nous explique que la douleur liée à une émotion, comme la colère, peut s'accumuler si l'on passe son temps à se poser des questions en se disant que la vie est injuste et en en voulant aux autres. Cela ne fait qu'ajouter de la souffrance à la souffrance et vous empêche d'avoir l'énergie pour faire face à la situation. Il indique qu'il n'y a pas d'autre choix que de gérer cette émotion pour trouver des solutions. Plus bas, je vous donnerai peut-être une solution qui vous conviendra, si vous êtes dans une situation similaire.
De plus, il souligne que souvent, une douleur est un message de notre corps que nous n'avons pas voulu écouter. Une douleur physique peut être reliée à une douleur psychique liée à des tensions : familiales, amicales ou professionnelles. Il préconise encore une fois de ne pas se cacher, mais de les affronter. Il ajoute que pour notre corps soit en bonne santé, il faut être dans un environnement et avec des personnes avec lesquelles on se sent bien. Si ce n'est pas le cas, vous savez ce que vous devez faire.
Tout ceci est excellent, mais la question que l’on pourrait se poser est :
« Comment gérer les douleurs causées par un acte de violence terrible ? »
Malheureusement, certaines personnes sont victimes de ces faits et ont du mal à s'en sortir. J'ai téléchargé un extrait du livre Un merveilleux malheur de Boris Cyrulnik sur la résilience et j'ai lu quelque chose de formidable ! Mais tout d'abord, qu'est-ce que la résilience ?
Selon le dictionnaire Larousse, c'est :
L’aptitude d'un individu à se construire et à vivre de manière satisfaisante en dépit de circonstances traumatiques.
Dans ce livre Boris CYRULNIK écrit :
« Presque tous les enfants résilients ont eu à répondre à deux questions. « Pourquoi dois-je tant souffrir ? » les a poussés à intellectualiser. « Comment vais-je faire pour être heureux quand même ? » les a invités à rêver. Quand ce déterminant intime de la résilience a pu rencontrer une main tendue, le devenir de ces enfants n'a pas été défavorable. »
Cyrulnik, Boris (1999-02-28T22:58:59.000). Un merveilleux malheur (PSYCHOLOGIE) (French Edition) . Odile Jacob. Édition du Kindle.
C'est intéressant de voir comment ces enfants ont commencé à réfléchir sur leur situation et à rêver d'une vie meilleure, surtout avec l'aide qu'ils ont reçue, leur avenir s'est amélioré.
Cela me fait réfléchir sur nous, les adultes. Si des enfants peuvent se poser ces questions et améliorer leur devenir, pourquoi pas nous ? Qu’est-ce qui nous empêche de faire la même chose ? Pour répondre à ces questions, en observant l'extrait de Cyrulnik, il ressort trois éléments importants qui pourraient nous aider à résoudre un événement malheureux :
1) Se demander pourquoi je souffre ?
2) Se demander comment je peux être heureux malgré cet événement ?
3) Demander de l'aide (spécialistes ou d'autres personnes qui ont connu le même problème).
Si nous faisons comme ces enfants, ne serions-nous pas sur la bonne voie pour atténuer cette souffrance et en faire une goutte dans un océan ?
Toutefois, je tiens à rappeler que je ne suis pas un professionnel de santé. Il est important de prendre en compte d'autres paramètres, car Boris CYRULNIK parle d'enfants et moi d'adultes. Je suis juste un lecteur, comme la plupart d'entre vous. Il est donc préférable de consulter un spécialiste de la santé en cas de souci. Pour finir, je vais vous donner quelques exemples de personnes célèbres qui ont dû faire preuve de résilience durant leur enfance. Comme le dit Boris CYRULNIK dans le livre que j'ai cité plus haut : « La répétition n'est pas obligatoire. »
1) Oprah Winfrey.
Elle a grandi dans la pauvreté et a été victime d'abus sexuels, mais est devenue une célèbre animatrice de talk-show et femme d'affaires.
2) Cristiano Ronaldo
Il a grandi dans une famille pauvre à Madère, mais est devenu l'un des meilleurs joueurs de football de tous les temps.
3) Elvis Presley
Il a grandi dans la pauvreté à Tupelo, Mississippi, mais est devenu l'un des plus célèbres chanteurs de rock 'n' roll de tous les temps.
4) J.R.R. Tolkien
Il a été orphelin à un jeune âge et a combattu pendant la Première Guerre mondiale avant de devenir l'auteur de la célèbre trilogie "Le Seigneur des Anneaux".
La liste est encore longue, mais je vais m’arrêter là. De temps, en temps, je m’amuse à regarder l’enfance de certaines personnes célèbres et figurez-vous que l’on comprend pourquoi ils ont dû se dépasser pour arriver a être ce qu’ils sont aujourd’hui. Je tiens à vous rappeler comme dans mon article : Devenez un héros ou une héroïne ! Dans notre entourage, il y a des personnes qui ont surmonté certaines douleurs, ils pourront sans doute vous donner de très bons conseils. Une dernière chose, parlez avec les personnes d’un certain âge, la plupart ont l’expérience que vous n’avez pas. Alors pourquoi ne pas en profiter ?
Si ces lignes que je viens d’écrire ont pu aider quelques personnes à avoir « une vie meilleure. » Je serai la plus heureuse des personnes, voilà pour moi l’objectif ultime de ce site.
Voilà, voilà, à bientôt !
Si vous souhaitez acheter le livre : Ce que j’aimerais te dire. Voici un lien (ici).
Si le livre de Boris Cyrulnik : Un merveilleux malheur, vous intéresse voici un lien ici.
Thème 7 : Aider c’est bien, mais aider sans attendre de compensation c’est mieux !
« Si vous aviez invité Richesse ou Succès, les deux autres seraient restés dehors, mais puisque vous avez invité Amour, partout où il va, nous allons avec lui. Vous savez, madame, partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès !!! »
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 64). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
Je ne peux pas dire que j’ai compris le sens de la vie, ou comment elle fonctionne. Mais Néanmoins, j’ai appris que lorsque nous faisons du bien, ce bien nous revient et lorsque nous faisons du mal, vous attirer celui-ci de la même manière.
Il y a quelques jours, j'ai posté un commentaire sur un réseau social. Une personne y expliquait qu'il ne fallait pas faire trop de choses pour les autres, car ils finiraient par dire qu'ils ne vous avaient rien demandé. Je pense que nous avons tous vécu cette situation. Dans mon commentaire, j'ai indiqué que si vous faites quelque chose dans l'attente d'une compensation, vous serez souvent déçu.
Depuis tout jeune, j'ai aidé et j'espérais que les personnes fassent la même chose en retour. J'ai été parfois déçu du comportement de certains pour lesquels j'avais fait de bonnes actions. Comme beaucoup de personnes, je ne comprenais pas pourquoi et je me disais en créole : "A dèrnyé fwa !" (c'est la dernière fois). Cependant, j'ai vu que cela pouvait se répéter sans avoir trouvé la réponse. Il y a quelques mois, j'ai vu une vidéo de Sadhguru qui expliquait que si nous aidons quelqu'un, il ne faut rien attendre en retour car nous risquons d'être insatisfait. C'est là que j'ai compris qu’en effet, lorsque nous rendons un service, la personne n'a pas passé un contrat ou un accord tacite avec nous. C'est nous qui avons choisi de lui rendre service de notre plein gré, elle ne nous a pas obligé. Nous aurions pu dire non. Alors, à quoi bon attendre quelque chose ? De plus, cela pourrait être considéré comme mesquin de notre part d'attendre automatiquement une récompense en retour, cela reviendrait à vivre aux dépens des autres.
Pour vous faire rire, j'ai "analysé" un certain type de personnes. Il y a des gens qui, lorsque vous leur demandez un service, rapidement (ou très rapidement) vous demandent en retour un autre service. Je n'ai pas encore compris leur état d'esprit. C'est presque comme s'ils se disaient : 'Je ne fais rien sans rien'. Lorsque je tombe sur ce genre de personnes, je souris car cela m'amuse. Ce qui est bien, c'est que la plupart du temps, on peut compter sur eux.
Revenons sur le fait d'aider des personnes sans attendre quoi que ce soit en retour. J'ai pu remarquer que lorsque vous aidez les gens de bonne foi, l'univers vous le rend. C'est-à-dire que si vous êtes dans une situation où vous avez besoin d'assistance, des personnes ou des moyens apparaissent "par hasard" pour vous venir en aide, que ce soit un proche ou un inconnu. C'est comme si plus vous aidez sans rien attendre en retour, plus vous accumulez des "cartes chance" pour votre futur. Je vais vous donner deux exemples concrets. Le premier, c’est lorsque ma voiture est tombée en panne sous la pluie et mon fils et moi poussions le véhicule pour essayer de le démarrer, et deux personnes sont venues nous aider sans hésiter, alors qu’il pleuvait énormément. Le deuxième fait, c’est lors de la création de mon premier livre. La veille, j'ai réalisé que j'avais besoin de relecteurs et correcteurs, et le lendemain, en en parlant avec quelqu'un, cette personne s'est proposée pour le faire, ainsi que deux de ses connaissances. Voilà le pouvoir de l'univers !
Néanmoins, je tiens à rappeler que vous n'êtes pas obligé de dire « oui » tout le temps, et il est tout à fait acceptable de dire « non » et de ne pas expliquer pourquoi. Il se peut que vous n'ayez simplement pas envie de donner un coup de main. Il est important de ne pas offrir votre aide à contrecœur. Car, je ne sais pas si cela vous est déjà arrivé, mais j’ai observé qu’à chaque fois que nous aidons quelqu’un alors que nous n’en avons pas envie, ce soutient dur plus longtemps que prévu et devient parfois pénible. Il est important de rester en accord avec soi-même, donc il est acceptable de dire « non » à certaines occasions.
En conclusion, je dirai que si vous assistez quelqu’un dans quoi que se soit, faite le avec amour et sans attendre une contrepartie, encore une fois l’univers se chargera du reste.
Hé voilà ! Merci d’avoir lu ce post. Je vous dis à Bientôt !
Si le livre d’Émeric LEBRETON vous intéresse voici un lien où vous pourrez l’acheter (ici).
Thème 8 : L'importance de la relation de cause à effet dans notre vie.
« Tout ce que tu fais ou dis possède un écho. »
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 63). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
Ce qui est bien avec mes articles, c'est que j'ai remarqué que le thème que je vais aborder a été un peu évoqué à la fin de mon dernier article. Sans plus tarder, si vous générez des bienfaits, vous obtiendrez des résultats positifs qui vous reviendront en retour.
Bien sûr, il y aura toujours des personnes qui diront : « J'ai fait du bien à untel, mais en retour il m'a fait du mal. » Et cela peut être vrai. Si vous faites des choses pour quelqu'un en attendant la même chose en retour de cette personne, comme je l'ai déjà écrit, vous risquez d'être souvent déçu.
Je continue avec un exemple pour illustrer mes propos. À l'âge de 18/19 ans, j'avais pris l'habitude de me moquer d'une personne. Cette personne ne répondait pas car je réagissais chaque fois de manière plus agressive. Cependant, j'ai remarqué quelque chose d'étrange : j'avais souvent un problème dans ma propre vie 1 ou 2 jours après avoir insulté cette personne. Au début, je n'ai pas fait le lien, mais un jour j'ai analysé la situation et je me suis dit : « Chaque fois que je me moque de cette personne, quelque chose de mal m'arrivait. » Après avoir fait cette constatation, j'ai effectivement compris qu'il y avait une relation entre mes paroles et les situations difficiles que je vivais ensuite.
Le plus intéressant dans tout cela, c'est que lorsque je faisais le contraire, c'est-à-dire des actes positifs, des choses positives m'arrivaient. N'est-ce pas merveilleux ?
Je tiens à rappeler que je ne suis pas un saint et qu'il m'arrive de temps en temps de "trébucher" dans ma manière de vivre ou de parler. Cependant, je pense qu'avec le temps, nous faisons moins d'erreurs et que nous comprenons qu'il y a toujours une conséquence à nos actions. Certaines personnes pensent que c'est le Karma, Dieu, l'univers, etc. Personnellement, je suis malheureusement actuellement dans l'incapacité de vous dire ce que c'est réellement.
Voici 5 exemples de personnes célèbres où nous pouvons relier la cause et l’effet :
Albert Einstein : Sa découverte de la théorie de la relativité restreinte a changé notre compréhension de l'espace et du temps.
Cause : ses travaux en physique théorique.
Effet : la révolution dans le domaine de la physique et l'impact sur de nombreux autres domaines.
Martin Luther King Jr. : Son militantisme pour les droits civiques a conduit à l'adoption de lois protégeant les droits des Noirs américains.
Cause : son activisme et ses discours inspirants.
Effet : la fin de la ségrégation raciale aux États-Unis et l'avancement des droits civils pour tous les citoyens.
Steve Jobs : Son leadership visionnaire chez Apple a révolutionné l'industrie de la technologie et a créé de nombreux emplois dans le monde entier.
Cause : son talent en tant qu'entrepreneur et visionnaire.
Effet : la création de produits emblématiques tels que l'iPhone, l'iPad et l'iPod, qui ont changé la façon dont nous interagissons avec la technologie.
Nelson Mandela : Son combat contre l'apartheid en Afrique du Sud a conduit à la fin de la discrimination raciale et à l'émergence d'une nation démocratique et unie.
Cause : son engagement politique et sa lutte pour la liberté.
Effet : la fin de l'apartheid et la transformation de l'Afrique du Sud en une nation démocratique, pluraliste et unie.
Malala Yousafzai : Sa lutte pour l'éducation des filles a inspiré des millions de personnes à travers le monde et a conduit à des changements législatifs en faveur de l'éducation des filles dans de nombreux pays.
Cause : son activisme pour l'éducation des filles et sa persévérance malgré les difficultés.
Effet : l'augmentation du taux de scolarisation des filles dans les pays en développement et la prise de conscience de l'importance de l'éducation pour tous.
Pour conclure, je dirai qu’il est donc important de faire attention à la relation cause et effet dans tous les aspects de notre vie."
J’espère que ces quelques lignes ont aidé (ou aideront) certaines personnes et je vous dis à bientôt !
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Thème 9 : Comment faire face à une personne malheureuse de manière bienveillante ?
Je ne peux pas malheureusement prendre l’extrait du livre, car il est assez long, mais l’auteur nous fait part de sa manière de voir le bonheur. En effet, il nous dit que si nous sommes heureux et souriants, de partager cette joie afin d’en faire profiter les autres, ainsi eux aussi peuvent être dans la bonne humeur.
Il aborde un point que je trouve très important concernant les gens qui parfois sont dans des situations délicates et qui peuvent vous en vouloir d’être heureux. Il recommande de ne pas en tenir compte et voici ce qu’il dit :
« Sois un exemple car de la même façon qu’un glaçon finit par fondre au soleil, leur visage finira par s’éclairer d’un sourire. Ta joie viendra à bout de leur douleur. »
Je trouve que c’est très joliment écrit. Par ailleurs, qui n’a jamais été heureux et n’est jamais « tombé » sur une personne malheureuse ? Je pense que c’est une des situations des plus difficiles à vivre. Le contraste ou la vie vous sourit et cette personne qui broie du noir peut -être tellement grand, que nous pouvons nous sentir mal à l’aise. De plus, ce que nous avons tendance à faire, c’est de prendre le temps d’écouter cette personne et nous laisser envahir par son chagrin, faisant ainsi disparaitre au fur et à mesure, la joie que nous avions.
Alors comment faire lorsque cette situation arrive ?
Je vais prendre des pincettes avec ce que je vais écrire, car il y a des situations, comme par exemple lorsque quelqu’un vient vous voir suite à la perte d’un proche, où il est très difficile de le réconforter et de trouver les bons mots. De plus, comme je l’ai écrit dans cet article (ici), cela prend du temps.
Donc, revenons sur une solution parmi tant d'autres.
1. L'ÉCOUTE
C'est parfois très étonnant, mais j'ai remarqué que les personnes n'ont pas toujours besoin d'une solution, mais simplement d'une oreille attentive. Vous n'avez pas besoin de répondre, car rien que votre écoute lui fera du bien. Normalement, à la fin, cette personne vous remerciera de lui avoir accordé du temps.
2. SOYEZ SINCÈRE
Si vous prenez le temps d'écouter quelqu'un qui a des difficultés dans sa vie, faites-le sincèrement. Ne faites pas comme certains qui vous disent : « T'inquiète, tu peux parler, j'ai l'habitude de faire deux choses en même temps… » S'il vous plaît, RESPECTEZ votre interlocuteur et vous-même. Il est préférable que vous reportiez cette discussion.
3. FINISSEZ AVEC DES MOTS RECONFORTANTS ET UNE POIGNEE DE MAIN OU UNE ACCOLADE.
Faites attention à vos mots, soyez simples et courts. N’allez surtout pas chercher des phrases longues qui ne feront que perdre votre vis-à-vis (qui pourrait tirer une drôle de tête) et vous-même. Ensuite, pour la poignée de main, prenez la main de votre interlocuteur avec vos deux mains, c'est un geste réconfortant. Ou sinon, serrez cette personne dans vos bras.
Une dernière chose, soyez le plus naturel possible. Si vous n'aimez pas les contacts physiques, des mots réconfortants suffiront amplement, par exemple :
« Ne t'inquiète pas, tout cela fait partie de la vie, ça ira. »
J'ai remarqué que les gens apprécient cette petite phrase. Enfin, faites tout cela sincèrement, sinon la personne le remarquera et le prendra mal, même si elle ne vous dit rien. Et si par malheur vous ne savez pas quoi dire ni quoi faire, je vous conseille d'écouter et de ne rien faire.
4. REPRENEZ VOTRE JOIE
J’ai failli oublier, vous étiez heureux, ou pas malheureux, à la base, non ? Donc à la fin de la conversation, reprenez votre joie que vous avez soigneusement mis de coté dans une partie de votre cerveau. Il est vrai que la peine des autres est difficiles et ne ressortons de ces conversations, parfois ébranlé par certains propos. Une solution, après la discussion ou le lendemain, allez très rapidement dans un endroit où la nature vous entoure, respirez plein poumon et repensez à des choses plus joyeuses. S’il n’y a pas de nature à proximité faites une ballade pour évacuer ce que vous avez entendu. Ensuite la Vie continue !
Voilà, ce n'est bien sûr pas une solution miracle, mais je pense que cela pourra aider certaines personnes. Cependant, selon les cas, comme pour les personnes dépressives, il est préférable qu'elles se dirigent vers un spécialiste. Bien que pour ce type de personne, je trouve que la solution se trouve en elles-mêmes. Mais cela n'est qu'un avis d'une personne qui ne travaille pas dans le domaine de la santé.
En conclusion voici une dernière situation. Un jeune artiste guyanais qui se prénomme Venssy a fait une chanson où il dit :
« Mo ja gin mo problèm man.
Ki manyin to lé mo rété assiz pran lapèn moun.
Mè kimoun ké pren mo pèn mo. »
Traduction en français :
« J’ai déjà mes problèmes.
De quelle manière veux-tu que je prenne la peine des autres ?
Mais qui prendra le temps pour écouter ma peine ? »
Il arrive parfois que vous vous trouviez dans une (ou plusieurs) situations difficiles. Soyons honnêtes, ce n'est pas le moment, ni pour cette personne ni pour vous. Si vous appréciez cette personne, prenez un peu de temps pour lui parler, mais sinon, abrégez la conversation et proposez de vous revoir un autre jour. Votre cerveau est déjà rempli de vos propres soucis, il n'est pas nécessaire d'ajouter ceux des autres sans avoir réglé les vôtres au préalable.
Merci d'avoir lu mon article, je vous souhaite une vie en bonne santé et à bientôt !
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Thème 10 : Comment être la plupart du temps joyeux ?
« Les gens heureux rencontrent plus que les autres gens des problèmes et des difficultés. On ne leur épargne rien. Si tu souries et sembles joyeux, on considérera que tu es fort et si tu es fort on te mettra à l’épreuve. »
Lebreton, Dr. Emeric. CE QUE J'AIMERAIS TE DIRE: Si je savais trouver les mots, si j’avais plus de temps, si… (French Edition) (p. 66). EDITIONS ORIENT'ACTION®. Édition du Kindle.
J'ai choisi cet extrait car il m'a interpellé. Croyez-le ou non, la plupart du temps, je suis une personne joyeuse. J'ai remarqué quelques petites choses lors de mes rencontres avec certaines personnes. Elles me disaient :
« J'aime discuter avec toi car tu es toujours heureux. »
« On dirait que tu n'as pas de soucis, car tu souris tout le temps. »
« Tu ris constamment, mais ce sont souvent les personnes les plus malheureuses qui font semblant d'être heureuses. »
« Toi, tu es toujours souriant, tu n'es pas comme moi... »
« J'ai l'impression que tu te fiches de tout... »
Et bien d'autres remarques encore...
La plupart de ces personnes ont du mal à comprendre qu'elles ne devraient pas laisser leurs émotions les submerger et montrer tout le temps leur peine. Au contraire, elles devraient s'adapter à leur situation et « dominer » leurs sensations.
Ne pensez pas que c'est facile, bien au contraire. Je suis un être humain comme tout le monde, mais avec l'expérience, j'arrive à consacrer du temps à mes difficultés au moment opportun. Plus précisément, par exemple, quand je vais au travail, même si mes problèmes ne disparaissent pas, je ne les transporte pas partout avec moi, comme si j’avais quinze enfants… Comme je le dis souvent : « Nous avons tendance à ne voir que les aspects négatifs de la vie et pas les côtés positifs. »
Après tout cela, nous allons répondre à la question que j'ai posée dans le titre, c'est-à-dire : Comment être joyeux la plupart du temps ? Vous avez plusieurs choix :
-Assumer et affronter vos problèmes afin de les résoudre du mieux que vous le pouvez.
-Accepter que cela fait partie de la vie et que c'est ainsi. Évitez de vous mettre dans des situations difficiles, et si vous êtes conscient des risques que vous prenez, soyez prêt à en assumer les conséquences. Il est important de savoir reconnaître ses torts...
-Reconnaître et accepter profondément que la vie n'est pas faite que de joie ou de souffrance. Pour moi, la joie et la souffrance font partie intégrante de la vie.
-Soyez réaliste. Ce que je veux dire par là, c'est que peu importe combien de fois vous allez essayer de fermer les yeux, de fuir ou de faire semblant d'oublier, votre problème sera toujours là. Il est donc essentiel de le gérer du mieux que vous le pouvez.
-Aidez les autres si vous le pouvez (très important).
-Comprenez que tout n’est pas juste dans vie.
-Apprenez à vous connaitre (qualités et défauts).
Dans son livre : L’agilité émotionnelle, Suzan David a écrit:
« Lorsque nous disons « Je ne veux pas échouer », « Je ne veux pas avoir honte », « Je ne veux pas me faire mal », nous exprimons ce que j’appelle des objectifs de trépassés. Les seules personnes qui ne seront jamais mal à l’aise parce qu’elles se sont couvertes de honte ne sont plus de ce monde. Il en va de même pour celles qui ne changent pas ou ne mûrissent pas. Pour autant que je sache, les seules personnes qui ne se sentent jamais humiliées, vulnérables, en colère, anxieuses, déprimées, stressées ou autres émotions désagréables que l’on peut éprouver après avoir relevé des défis, ne sont plus là pour en témoigner. »
Dans cet extrait, David montre clairement ce qu'est la vie et les conséquences désastreuses qui peuvent en découler si nous refusons de l'accepter telle qu'elle est, non seulement pour nous, mais aussi pour nos proches...
Cela ne signifie pas que vous ne devez pas ressentir de la douleur ou vous désintéresser de la vie en devenant « un robot », car vous êtes un être humain. Comme je l'ai dit à une amie, si la nature nous a dotés d'émotions, c'est qu'elles ont leur utilité. La nature ne crée rien de superflu.
Je pense que la vie nous réserve certaines épreuves pour mieux affronter celles qui surviendront plus tard. Évitez d'être constamment malheureux, car certaines personnes parlent de vibrations, d'univers, etc… Cela repoussera tout le monde et vous risquez de devenir un aimant à malheurs...
En conclusion, il est extrêmement important de profiter et d'apprécier les moments de joie dans votre vie, car ils ne durent pas éternellement.
C'est aussi à vous de faire le choix : « Voulez-vous être presque constamment malheureux ou heureux ? C'est à vous de décider.
Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire cet article, et si vous souhaitez acheter les deux livres mentionnés, voici les liens :
Ce que j'aimerais te dire : Si je savais trouver les mots, si j'avais plus de temps, si... d'Emeric LEBRETON
L'agilité émotionnelle" de Susan DAVID
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