Le livre Comme par magie d'Élisabeth GILBERT m'a permis de réellement me lancer dans l'écriture.
Sommaire (Vous pouvez aller directement sur le thème souhaité)
Thème 1 : La créativité ?
Q : Qu’est-ce que la créativité ?
R : La relation entre un être humain et le mystère de l’inspiration.
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) . Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Dès le début du livre j'ai été scotché par cette réponse. Car bien que maintenant je sais ce qu'elle veut dire après avoir écrit deux petits romans et un petit journal. Je me demandais qu'est-ce qu'elle pouvait bien vouloir affirmer en écrivant que c'est : "La relation entre un être humain et le mystère de l’inspiration."
En effet, lorsque j'écris, j'ai l'impression d'être connecté à je ne sais pas trop quoi ? Mais cette connexion me permet de ne pas me poser de question sur ce qui va être retranscrit sur le papier dans l'instant présent.
Mais tout ça provient peut-être tout simplement de mon imagination. Et cette sensation s'est fait énormément ressentir lorsque j'ai écrit mon prochain roman : Jeanne et les cœurs sauvages (autant faire un peu de pub, ça ne fait pas de mal:) ). J'écrivais des pages et des pages comme s'il y avait une source qui coulait en moi.
Et vous, est-ce qu’il vous est déjà arrivé d'avoir cette même sensation ? Laissez-moi un petit commentaire.
Merci d'avoir lu cet article et à une prochaine !
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Thème 2 : Et si vous commenciez par prendre du plaisir ?
Élizabeth parle d’un poète qui s’appelait Jack GILBERT, pour lui, ne pas être connu n’était pas important, son seul souci, c’était de se consacrer à sa passion qui était l’écriture de poèmes.
Élizabeth cite à ce propos :
«Je crois que c’est là une excellente manière de devenir poète. Ou à vrai dire de devenir n’importe quoi, du moment que vous en ressentez l’appel dans votre cœur et que cela illumine votre vie.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (pp. 13-14). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Et c’est pour cela, mes chers lecteurs, que je trouve ce livre formidable ! Car en le lisant il ne s’adresse pas seulement aux personnes qui désirent se lancer dans un domaine créatif, mais aussi à toutes les personnes qui souhaiteraient se lancer dans un domaine et peu importe celui-ci. En écrivant ce paragraphe, je viens tout juste de résumer ce livre.
J’ai commencé à écrire en 2006 ou 2008, à l’époque je ne possédais pas les moyens financiers (travail) que j’ai actuellement et j’avais plus de temps à consacrer à l’écriture. J’ai donc écrit : des poèmes, des petits romans, scénarios, sans avoir aucune connaissance et expérience. C’était et c’est que du bonheur. J’aimais et j’aime toujours cette activité. Et c’est ça l’essentiel ! Si vous faites quelque chose que vous aimez, et que vous prenez beaucoup de plaisir à faire, continuez. Même les mauvaises critiques ne vous arrêteront pas.
Bien que je le souhaite, je ne sais pas si je deviendrai un grand écrivain avec mes livres, ou riche ? Mais ne soyons pas hypocrites, si cela arrive, je serai ravi, au départ, mais surtout que mes livres soient reconnus et donc mon travail. Prendre du plaisir à faire un métier que vous aimez et gagner votre vie avec celui-ci, c’est pour moi la chose la plus importante. Ensuite, ce qui va en découler c’est du bonus.
C’est pour cela, que je recommande vivement ce livre à toutes personnes qui ont une crainte de se lancer dans quoi que ce soit ; artistique ou non.
Merci d’avoir lu cet article et à bientôt !
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Thème 3 : Avoir une existence créative ?
«Il ne leur avait pas vraiment enseigné comment écrire de la poésie, mais pourquoi : à cause du délice. À cause de la joie obstinée. Il leur disait qu’ils devaient mener l’existence la plus créative possible afin de combattre l’impitoyable fournaise de ce monde.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (p. 16). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
C’est beau, n’est-ce pas ? Dans cet extrait, Élisabeth nous parle de la manière dont Jack GILBERT enseignait et je trouve que cette façon de penser est sans doute l’une des meilleures.
En effet, mener une existence créative vous permettra d’avoir une soupape de secours dans le monde actuel où nous vivons. Qui ne s’est jamais senti frustré suite à une relation, au travail, à une journée chaotique ? Lorsque nous créons quelque chose, la plupart du temps, le monde qui nous entoure n’existe plus (et vous non plus chers lecteurs :) ). C’est notre porte de sortie de ce monde, en plus vous n’avait pas besoin d’alcool, de drogue ou quoi que soit qui vous fasse du mal.
Je connais certaines personnes qui ont une fibre artistique et qui sont discrets. Ils sont capables de créer de beaux pains, des gâteaux, faire pousser toutes sortes de plantes, construire des meubles avec un tel amour, qu’ils n’ont pas à rougir des professionnels. Et lorsque ces personnes font et parlent de leurs créations, nous pouvons ressentir toute leur passion. Si vous êtes avec eux, même s’ils vous expliquent comment faire, il y aura des moments où ils seront absents et dès que vous les rappelez que vous êtes là, ils sont presque gênés de vous avoir oubliés. Car c’est tout simplement leur moment, la fenêtre qui permet de s’évader.
Dans mon cas par exemple, lorsque j’écris mes livres, vu l’heure (5 heures du matin) une bulle se crée automatiquement, déjà que c’est très silencieux, car il y a très peu de voisins réveillés et de passages de voitures, la concentration et le silence sont plus intenses que pendant le reste de la journée, je ne dis pas que c’est impossible à une autre heure, mais moi, c’est cette heure que je préfère. Ensuite, il ne reste plus que mon œuvre et moi et pendant ce laps de temps, je suis déconnecté du monde réel, jusqu’au moment où mon alarme sonne pour que j’aille faire autre chose. Voilà pourquoi je pense qu’il faut mener une existence créative, car en tant qu’être humain et avec tout ce qui se passe sur notre planète, nous avons besoin de respirer et donc de créer.
Merci d’avoir pris le temps de lire cet article et à bientôt !
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Thème 4 : Est-ce que l‘on doit juste être des consommateurs ?
«Elle cessa d’avoir l’impression de n’être rien de plus qu’une consommatrice, rien de plus que la somme de ses obligations et devoirs quotidiens. Elle faisait quelque chose d’elle-même et elle le faisait toute seule.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (p. 22). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Dans ce paragraphe Élisabeth parle d’une de ses amies qui aimait et voulait faire du patinage depuis son enfance. Après avoir essayé elle fut recalée et pendant 25 ans elle mit sa passion de côté, puis s’est ressaisie et se lança à nouveau dans le patinage.
Ce point pour moi est très important, ne devrions-nous être que de simples consommateurs dans ce monde ? Ou devrions-nous être des créateurs ? Je vais vous donner mon avis à ce sujet.
En 2017, en vacances, me demandant ce que j’allais bien pouvoir faire de ma journée ? J’étais allongé sur mon lit et je me suis mis à faire le bilan de ma vie. Et je me suis posé une question : « Durant toutes ces années passées, qu’est-ce que j’avais réussi et quels étaient mes échecs ? Et donc, j’ai pu y répondre en me disant : « Ben, ok, j’ai fait si, j’ai fait ça. » Après, il y eu un moment de silence. Et je me suis demandé : « Est-ce que c’est ça ma vie ? » Je ne suis plus en difficultés financières, j’avais une compagne, des enfants, je profitais des bienfaits de la vie (ciné, resto, fêtes, pêches, etc…). Et donc, est-ce que c’était ça la vie ? Est-ce que le fait de vivre se résume à ça ? C’est là que tout a commencé, j’ai décidé d'observer les personnes se trouvant plus ou moins proches de moi. Je me suis dit consommer, c’est bien, mais pourquoi est-ce que je ne pourrais pas, moi aussi, produire quelque chose ? Est-ce que j’en ai la capacité ? Est-ce si compliqué ?
J’ai entrepris la création d'une liste de tout ce que j’aurais aimé faire et avoir (c’est à cet instant qu’un de mes projets qui dataient de dix ans environ a refait surface) ; me lancer dans l’écriture d’un roman. Mais pas seulement ça, d’autres projets ont également fleuris, comme par exemple voyager et plein d’autres choses encore. Et je me suis demandé comment faire ? En examinant des personnes plus ou moins célèbres (pour moi un maçon à autant de célébrité qu’une star, s’il aime ce qu’il fait et est reconnu pour son travail) de plus près, je me suis dit : « Ils l’ont fait et pourquoi pas moi ? »
Une dernière chose, à peu près dans la même année citée plus haut, j’ai eu une conversation avec une de mes collègues. Nous parlions de cette envie de créer (ou de produire comme vous voulez). Elle m’a rappelé qu’il y a des personnes qui n’ont pas forcément envie de concevoir quelque chose, ils veulent aller au travail, et comme je l’ai écrit quelques lignes auparavant juste profiter des bienfaits de la vie, et rien d’autres (comme je le faisais). Bien que je considère que créer dans n’importe quel domaine est un bienfait de la vie, mais cela, reste mon avis.
Chers lecteurs j’aimerais savoir ce que vous pensez de la réflexion de ma collègue ? Laisser moi un petit commentaire.
Merci pour le temps que vous avez consacré à cet article. A une prochaine !
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Thème 5 : De quoi avez-vous peur ?
Je ne vais pas vous mentir, avant d’écrire mon roman j’ai pris du temps. Et cela pour deux raisons :
-La peur d’être jugé.
-Je voulais que mon roman soit parfait.
Et si je devais faire un pourcentage, ce serait 60 pourcent la peur et 40 pourcent le fait qu’il soit parfait. Et en lisant d’autres ouvrages que vous verrez sur ce site ultérieurement (c’est en grande partie, la raison pour laquelle j’ai créé ce site afin d’essayer d’aider d’autres personnes comme moi). Et grâce à ces bouquins, que j’arrive à avoir des idées et à tenir bon.
Bon revenons à nos moutons… Ces deux raisons citées précédemment font partie des choses les plus horribles pour quelqu’un qui souhaite se lancer dans une œuvre créative. Peut-être et sans doute qu’il y en a d’autres, mais ces deux-là sont vraiment pour moi des cas vraiment particuliers qui peuvent vous bloquer dans vos œuvres. En effet, avant d’’écrire mon premier roman, j’avais peur, peur de quoi ?
De moi-même, je me posais ces questions :
-Est-ce que je vais réussir ?
-Est-ce que je suis au niveau ?
-Qui est-ce qui pourrait m’aider, si j’ai un problème et que je n’arrive plus à écrire ?
-Je vais sans doute me faire huer par les critiques et ceux qui sont meilleurs que moi ?
-Pourquoi faire ça ? Je mène une petite vie tranquille, pas de travail en plus, pourquoi me rajouter une tâche en plus ? La vie n’est-elle pas assez compliquée ?
-Qui va acheter mon livre ? Peut-être personne ? Je serai le premier auteur avec zéro vente ?
-Est-ce que mes futurs lecteurs, malgré mon manque d’expérience, vont aimer ce que j’ai écrit et ma manière d’écrire ?
-Je devrais sans doute prendre des cours d’écritures et quand je serai prêt, je vais me lancer. Au moins, je pourrais dire que j’ai fait des formations pour écrire. (Avec du recul, je ne dis pas que ce n’est pas quelque chose à faire. Mais pour moi, je n’aurais écrit aucun livre et ce site n’aurait jamais vu le jour). J’aurai continué à me dire : il me faut plus de temps…Plus de temps…Encore plus de temps…
Je pourrais rajouter tellement d’éléments par rapport à la peur me concernant, mais je vais m’arrêter là.
Pour répondre à tout ça, de la manière la plus simple possible, à l’heure ou j’écris ces lignes. J’ai dépassé toutes ces peurs. Je suis passé de est-ce que j’y arriverais ? À comment dois-je procéder pour y arriver ?
J’ai compris que la peur vous fait stagner et en restant figé à vous poser mille et une questions, à part le fait de gagner encore plus de peurs, vous ne gagnez rien d’autres…
Alors comment ne plus avoir peur dans le domaine que vous souhaitez vous investir ? Voici quelques idées :
-Lisez des ouvrages concernant le fait de vaincre la peur.
-Parlez de votre projet autour de vous (pas dans tous les détails, pour garder certaines surprises). En faisant cela, ça va vous forcer à réaliser votre objectif, car les personnes viendront vous voir afin de vous demander où cela en est ? Et ça créera une petite frustration de ne pas avoir commencé ou que vous procrastinez.
Lisez des biographies et pas forcément pour votre futur œuvre, mais avec d’autres personnes connus (exemple pour ce qui souhaite se lancer dans l’écriture : Ecriture : Mémoires d’un métier de Stephen KING et bien sûr le livre qui m’a permis de créer ces articles).
-Et le point le plus important pour moi : commencer !
J’ai réfléchi pendant environ un ou deux ans avant de créer ce site, avant d’écrire la première ligne. Et vous savez quoi ? Je regrette, car j’avais, je pense inconsciemment sans doute peur de me lancer et je voulais qu’il soit parfait. Bien que ce site et mes livres ne sont pas parfaits, mais je sais qu’en continuant à m’enrichir et vous aussi si vous le faites, nous allons nous améliorer au fur et à mesure. Par exemple, certaines personnes ont vu une amélioration au niveau de l’écriture dans mon deuxième roman. Je continue à lire des ouvrages qui m’apportent un plus dans les domaines où je souhaite m’améliorer et vous allez vous rendre compte que certes, vous progressez dans le domaine choisis, mais aussi dans d’autres domaines, par exemple dans votre comportement, votre manière de voir le monde etc…
En tout cas pour finir, c’est normalement que vous ayez peur, commencer est pour moi la meilleure façon de l’affronter et bien sûr comme je l‘ai dit dans un autre thème un peu plus haut, prenez du plaisir. Comme c’est le cas en ce moment ou j’écris ces lignes.
Merci pour votre visite, à bientôt !
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Thème 6 : Le processus créatif : Magic or not magic ?
«Les idées sont éternellement en train de tournoyer autour de nous en quête de partenaires humains disponibles et consentants.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (p. 47). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Cet extrait que je viens de mettre en évidence, vient contredire un neurologue qui pense que le processus créatif peut sembler magique, mais pour lui, ce n’est pas du tout le cas. Je ne peux pas certifier qu’Élisabeth a raison, mais de mon point de vue, en tant qu’auteur, je penche plus de son côté. Alors, la grande question que vous êtes sans doute en train de vous poser est : « Pourquoi Élisabeth et moi défions le neurologue ? »
Il y a quelques mois, lorsque j’écrivais mon premier livre. L’idée d’une femme qui se trouvait dans un fleuve avec sur son dos son fils et ils faisaient face à caïman, revenait constamment et pas une fois par mois, ou une fois par semaine, mais quasiment tous les jours. Au départ, lorsque je voyais cette image, je me disais : « Quelle drôle de pensée ? » Puis je vaquais à mes occupations. Mais cette pensée revenait constamment et comme à l’époque j’écrivais mon premier roman, je n’avais surtout pas envie de me lancer dans une autre histoire, surtout que j’avais lu qu’écrire deux bouquins en même temps n’était pas recommandé. Donc, pendant plusieurs mois je n’ai fait qu’esquiver cette image. Mais à un moment, je me suis dit stop, si cette idée revient à chaque fois c’est qu’il y a peut-être une raison ? Et ce début de livre pourrait m’apporter des choses auxquelles je ne pense pas… Alors j’ai donc suivi mon intuition, comme je l’ai écrit dans un autre thème et dans mon petit livre : Petit journal d’un auteur débutant (oui, toujours un peu de pub pour mes livres ;) ).
Ce qui est aussi intéressant dans ce livre, elle parle de ces idées qui viennent d’un coup et que si vous ne l’attrapez pas, elle partira vers un autre être humain qui veut bien l’accueillir, et travailler avec elle. J’ai donc une question qui me taraude l’esprit, dites-moi chers lecteurs : « Est-ce qu’au moins une fois dans votre vie, vous avez eu une idée qui n’existait pas, du moins sous la forme que vous le vouliez et qu’une autre personne a créé à votre place ? » Et qu’ensuite, vous vous êtes dit : « Mince alors ! J’ai eu la même idée ! Ou c’était mon idée ! ) Ce qui est drôle, c’est que l’idée que vous aviez, fait toujours en sorte que vous sachiez (par le biais des médias, d’une personne, etc…) que vous n’avez pas voulu d’elle, mais qu’un autre lui a ouvert la porte, comme si elle vous narguait. Afin de prendre un exemple concret, il y a quelques années lorsque je me suis arrêté chez un commerçant, j’ai pris comme d’habitude une boisson non gazeuse 100% orange d’une marque très connue, et une idée m’est venue en me disant ce serait bien de faire des boissons de jus locaux quasiment fraiches et donc avec une durée de conservation de quelques jours seulement, afin de garder sa fraicheur. Et comme d’habitude, j’ai dit : « Ha ouais ce serait intéressant… » Tout en buvant celle que je venais d’acheter. Hé ben, quelques mois après, j’ai vu cette idée apparaître chez les commerçants. Ce n’était pas la première fois que ça arrivait.
Maintenant, comme Élisabeth, je comprends que les idées viennent toutes seules à nous et je fais le choix ou non de les garder. Si je les accepte, je les écris sur mon ordinateur ou sur mon téléphone portable ou sur un bout de papier) pour pouvoir les utiliser dans un futur proche. Et je suis très content car depuis que je fais ça, j’ai plein d’idées de livres ou de projets que j’ai pu stocker et tant pis si quelqu’un les utilise à ma place, mais je sais que si je travaille sur un ouvrage, quand je l’aurai terminé, vu le stock, il en restera une ou deux disponible.
En conclusion, mes chers lecteurs j’ai une dernière question :
« Et vous, quand est-ce que vous allez arrêter de laisser fuir ces idées qui viennent vous chuchoter à l’oreille, qu’elles n’attendent que vous ? »
Merci pour votre visite, à bientôt !
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Thème 7 : La créativité doit-elle passer par la destruction de votre âme ?
Je l’avoue ce titre est aguicheur, je ne sais pas si l’âme existe ? Si vous le savez dites-le-moi dans les commentaires. Mais nous allons changer légèrement le titre du thème en écrivant :
« La créativité doit-elle passer par la destruction de votre corps, par biais d’une substance ? »
Afin de répondre à ma question voici en partie la réponse d’Élisabeth :
« Fonctionne-t-elle, cette méthode ? Oui, bien sûr. Super bien. Jusqu’au moment où elle vous tue.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (p. 52). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Vous vous demandez sans doute de quelle méthode Elisabeth parle-t-elle ? Elle parle des créateurs qui ont besoin de prendre des substances qui détruisent pour pouvoir créer une œuvre. Certains grands noms de l’écriture faisaient appel à ces drogues. Si cela vous intéresse voici un article de France culture qui aborde cette thématique.
Alors, mon opinion dans tout ça (n’hésitez pas à laisser un commentaire afin d’avoir votre avis).
Ne vous détruisez pas pour créer quoi que ce soit. Imaginez qu’à un moment vous avez le succès que vous espériez, mais que vous passiez votre temps à prendre des médicaments et à faire des fréquents va et vient entre votre domicile et l’hôpital. Ne pas pouvoir profiter de son travail après ces durs moments passés à produire, ce serait (à mon avis), tout simplement stupide. Dernièrement je regardais de très jeune rappeur utilisant ces substances et qui malheureusement sont parties entre l’âge de 19 et 21… L’un d’entre eux lors d’une rencontre avec son idole (un rappeur très connu) lui avait dit que c’était grâce à lui qu’il avait commencé à utiliser une certaine drogue. D’après vous, quelle fut la réaction de l’artiste qui voyait un jeune fan qui cartonne lui dire ça ? Il fut très mal à l’aise… Après ce n’est que mon opinion, vous faites ce que vous voulez de votre corps et de votre vie. On récolte toujours ce que l’on sème, à vous de voir…
Et pour finir, lors d’une vidéo sur le cannabis, Sadhguru que vous pouvez voir sur YouTube, disait (en gros) que si un pilote vous disait qu’il avait besoin de prendre un joint avant de piloter l’avion. Allez-vous prendre cet avion ? Il est vrai que dans ce cas-là, nous parlons d’un pilote d’avion. Mais je pense que si vous êtes bon avec ce (ces) produit(s), vous serez meilleur sans celui-ci.
Et voila, pour ce septième thème, merci de l'avoir lu et à bientôt !
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Thème 8 : Échec, vous avez dit échec...
«Avoir parfois l’audace d’être satisfait de ce que vous avez créé. (Et si un projet ne se réalise pas correctement, vous pouvez toujours considérer que cela aura été une expérience constructive qui en valait la peine.)»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (p. 53). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
« Vous pouvez mesurer votre valeur à l’aune de votre dévouement pour la voie que vous vous êtes choisie, et non de vos succès ou de vos échecs. »
J’adore ces deux extraits, car quel que soit le projet, je pense que l’on doit être fier de ce qu’’on a créé, car cela nous a demandé du temps, du travail, de la discipline de l’énergie
Peut-être que vous vous direz, j’ai tellement travaillé sur ce projet et lorsqu’il sortira il va cartonner ! Le jour "j" arrive et vous vous rendez compte que c’est un flop total et vous vous direz : « Tout ça pour ça ! »
Je pars du principe que pour chaque œuvre, lorsqu’on est débutant, il est préférable d’espérer que tout aille bien au lieu d’affirmer que selon vos plans tout devrait se dérouler correctement. Ceci laissera une petite place à la déception (j'ai bien dit une petite place, ne partez pas non plus en vous disant : "Ce que je fais est nul, ça ne va pas pas fonctionner, en gros ne partez pas sur des bases négatives, car je peux vous le garantir votre travail sera tel que vous l'avez pensé). Donc dans le cas ou vous laissez une petite part à la déception (dans le cas ou ça arrive), elle sera plus facile à digérer.
Je ne sais pas qui a dit : « C’est le chemin qui est important et pas l’objectif. » Pour moi l’objectif doit être bien gardé en vue, car c’est le but à atteindre. Mais néanmoins, le chemin est tout aussi essentiel, parce que c’est là que vous allez apprendre de vos erreurs et de vos réussites, jusqu’à ce que vous vous perfectionniez, un peu comme un couteau qui devra être constamment aiguisé.
Thème 9 : Faites fleurir votre fleur.
« Travaillez avec cette obstination. Travaillez avec toute la sincérité, la confiance et la diligence possible. Travaillez de tout votre cœur, parce que – je vous le promets – si vous venez au travail sans faillir jour après jour, vous pourriez bien avoir assez de chance un beau matin pour arriver au moment où tout fleurit d’un coup.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (pp. 79-80). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Voici un nouvel extrait qui m’a donné beaucoup de courage à entreprendre l’écriture. Chers lecteurs, je ne peux pas vous le garantir à cent pour cent, mais en lisant ce livre, vous allez pouvoir entamer le projet que vous désirez depuis si longtemps. Il est vrai que j’écris ces articles et que je suis un auteur débutant, de plus je vends (pour l’instant) à peine quelques livres. Mais pour moi, l’important c’est de commencer, sans attendre ou trop planifier en pesant le pour le contre à l’infini (comme j’aimais le faire dans le passé) et encore une fois prendre du plaisir.
Et un jour, pour moi aussi, ça fleurira. J’en ai l’intime conviction au plus profond de moi. Pourquoi ? Parce que je crois au travail, en moi et en ce que je fais.
Après mon premier roman, je me suis dit que j’allais compter le nombre d’heures que je passe à écrire de la première ligne, à la publication d’un de mes livres. Peut-être que vous pensez que c’est une idée bizarre de ma part, mais j’aime bien ce style de pensées. Donc, j’ai commencé à le faire et quelques jours après j’ai arrêté. Pourquoi ? D’une part, c’était chiant de me rappeler qu’il fallait que je n’oublie pas de noter le temps que je passe à écrire, et d’autre part, lorsque je voyais le nombre d’heures s’accumuler je me remettais à me poser ce style de questions :
-Quoi ! Tu as écrit tout ça de temps tu mérites du repos…
-Vu le nombre d’heures que tu as fait, tu peux t’arrêter et faire autre chose…
J’étais plus dans un rapport performance-écriture que dans celui de plaisir-écriture. Et donc, j’ai tout arrêté et ça m’a fait du bien de me refocaliser sur l’écriture-plaisir.
Et voila, pour ce neuvième thème, merci de l'avoir lu et à bientôt !
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Thème 10 : Fais ! Ensuite tu verras…
Chers lecteurs nous voilà arrivé au dixième et dernier thème concernant le livre d’Élisabeth. Franchement en commençant ce site, je ne savais même pas combien de sujets j’allais aborder (ainsi que pour les autres ouvrages à venir sur ce site) et j’ai donc fait comme d’habitude, ou plutôt comme je me dis à chaque fois que j’entame un nouveau projet dans ma vie : Fais ! Ensuite tu verras…
Et je rajouterai, faites les choses d’une manière passionnée, comme un amour quasiment inaccessible, mais qui est là en permanence, à portée, qui vous tente à chaque jour, heure, seconde de votre vie. Et même si cela devait devenir un amour caché, égoïste, que vous ne voulez montrer à personne. C’est à ce moment que je pense à la phrase d’Élisabeth GILBERT dans cet ouvrage :
« La règle d’or dans ma famille est la suivante : si tu es financièrement indépendant et que tu n’ennuies personne, tu as toute liberté de faire ce qui te plaît de ta vie.»
Gilbert, Elizabeth. Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre (Littérature Etrangère) (French Edition) (pp. 103-104). Calmann-Lévy. Édition du Kindle.
Je suis complètement en accord avec ce qu’Élisabeth vient de dire !
Je vais donc m’arrêter ici pour les articles concernant ce formidable ouvrage. Nous sommes qu’au début du livre et je vous le promets Il y a encore d’autres sujets intéressants à lire et je vous laisserais, mes chers lecteurs le soin de les « déguster » par vous-même et encore une fois, vous n’allez pas être déçu. Que ça soit par le biais de mes liens, d’un autre moyen, prenez le temps de lire ce livre, car pour moi, c’est une preuve d’amour à la Créativité qu’Élisabeth GILBERT démontre au monde entier. Et ne croyez pas que je suis très élogieux envers ce bouquin afin que vous puissiez l’acheter, mais tout simplement comme on le dit en créole guyanais : « lo y bon y bon » (lorsque c’est bien c’est bien), tout simplement.
Pour conclure sur ces dix thèmes abordés, je voulais juste vous dire :
« Faites ! Après vous verrez. »
Ta da ! c'est le dixième et dernier article, merci pour la petite visite, je vous envoie des bisous et du bonheur et à bientôt pour le prochain livre !
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Sommaire :
- Thème 1 : La créativité ?
- Thème 2 : Et si vous commenciez par prendre du plaisir ?
- Thème 3 : Avoir une existence créative ?
- Thème 5 : De quoi avez-vous peur ?
- Thème 6 : Le processus créatif : Magic or not magic ?
- Thème 7 : La créativité doit-elle passer par la destruction de votre âme ?
- Thème 8 : Échec, vous avez dit échec...
- Thème 9 : Faites fleurir votre fleur.
- Thème 10 : Fais ! Ensuite tu verras…
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